這篇文章主要是由一位Olivier Audeoud的記者在New York Times所發表的文章,
內容在比較美國與法國大學的差異,想當然爾,美國大學城在他眼中一定是「勝出」,
只是法國的大學...他拿Nanterre來比較...糗....
從學生額外服務、學生社團、電腦數量(和連網程度)、學校設備、學生宿舍、相關商店(書局、餐廳等)
他把幾個「慘」狀一一列出,其中有個結論下的很狠:在法國讀大學就像從「監獄」到「ANPE」(就業服務)
老實說,剛接觸法國大學時,的確被他的「殘破」所驚訝!老舊的房舍,四處可見的塗鴉和垃圾,下午5點以後校園景色「荒涼」,學校資訊系統嚴重不足.....這樣的設備對於一般大學生能提供的服務實在有限,更別提學生對學校有多強烈的「向心力」。當然,文中也有來自「校方」的反駁,畢竟法國的公立大學是看國家臉色吃飯的,如果能像英美大學收取高額的學費來改善環境的話,50年後當然也大有不同。「一個學校的好壞程度,不是靠環境來判斷的」NANTERRE的校長如是說

Suite à l'article à charge d'Elaine Sciolino paru dans le New York Times Act'U a souhaité recueillir les réactions de l'équipe dirigeante de l'université citée en exemple. Rencontre, à Paris X, avec Olivier Audéoud, président de l'université et Marc Petit, chef de cabinet.
Elaine Sciolino, journaliste au New York Times, n'est apparemment pas adepte de la demi-mesure. Son article (lire sur le site du Herald Tribune ) décrivant l'université de Nanterre, paru dans l'édition du célèbre quotidien le 12 mai dernier est sans appel. L'université de Paris X- Nanterre serait un vaste campus où rien ne vit : "[..] il n'y a pas de centre étudiant, pas de librairie, pas de journal étudiant, pas d'orientation pour les primo-entrants, pas de service de mise en relation avec le monde de l'entreprise".
Les nouvelles technologies semblent tout aussi absentes avec seulement "30 ordinateurs connectés à internet sur 100". Le problème de la capacité d'accueil des salles de travail est pointé du doigt puisque, "au moment des examens beaucoup d'étudiants doivent trouver de la place ailleurs".