Les types de loisir sont très divergents entre la France et Taiwan. D’un côté, les Français aiment le sport, le cinéma, la musique et les sorties. D’un autre côté, les Taiwanais préfèrent s’amuser par le karaoké, le cinéma, le shopping au grand magasin et surtout, le cybercafé. Il n’est pas négligeable d’insister le développement de celui-ci qui, parmi les jeunes, est devenu le meilleur choix pour les loisirs depuis plusieurs années. Il y a autant de cybercafé à Taiwan que de café en France, mais leur fonction est tout à fait différente. Entrant dans un cybercafé, nous voyons la plupart des clients qui portent encore leur uniforme scolaire et sont des garçons. Lors des vacances scolaires, les jeunes ne vont ni au cinéma, ni au sport, qu’au cybercafé pour jouer sur l’Internet. Pour quelle raison ces jeux sur l’Internet possèdent autant d’influence ? Lorsque j’étais étudiant, j’y jouais ainsi pendant plusieurs mois. Dans le jeu, nous jouons un rôle et nous devons exercer pour passer dans une classe supérieure en contrôlant notre rôle et bavardant avec les autres joueurs. La règle du jeu est toute simple, entraîner sans cesse. C’est pour cela que j’allais rarement en cours : en effet, je jouais toute la journée, même pendant la soirée. En réalité, nous avons déjà eu des victimes jeunes qui sont morte brusquement afin qu’ils jouaient sur l’Internet sans dormir après plusieurs jours. Imaginez un garçon qui est en train de profiter de son jeu en cherchant des trésors et parlant avec ses camarades, et qui semble dynamique même s’il ne dort pas depuis trois jours, et soudain, il se penche sur la table et il ne se réveille plus.
Les élèves sont souvent absents des cours pour s’attarder au cybercafé, parce que cela ne coûte pas cher ; cinq euros pour une journée. Or, l’Education Nationale de Taiwan a décrété une loi pour limiter à l’installation de cybercafé à une distance de l’école minimale de 50 mètres.
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